Ecrire la promenade
À l’extrémité de l’avenue Louise la plus proche du bois de la Cambre, s’élève une petite fontaine accompagnée d’un banc. La pureté des vers qui y figurent (sur le banc « Qui m’écoute chanter me garde de mourir » ; sur la vasque « Je t’offre un verre d’eau glacée / N’y touche pas distraitement / Il est le prix d’une pensée / Sans ornement ») évoque le souvenir du poète Odilon-Jean Périer (1901-1928)